vendredi 16 septembre 2016

Montreuil-Bellay et ses pioupious

Montreuil-Bellay en temps de guerre (1914-1918).

    Montreuil-Bellay ; soldats en (re)présentation 
devant l'ancien couvent des Augustins.
Nous sommes tous une grande famille... 
Archives  J. S.

Ils sont [Ils étaient] 157 => environ une vingtaine par rang. Dans le 3ème rang en partant du bas : 2 calots, 14 képis et 5 casques.

Ce que Nous sommes pour Elle, notre belle et grande France... tous anonymes, seulement différenciés par la tenue.
Chacun enfermé dans son nom et l'obéissance.
Pour donner le change... et quelques espoirs aux "petits" - aux 2èmes classes, voire aux 1ères classes, quand nos ponctuels et légendaires chemins de fer en eurent même des 3èmes... -, il y a bien, au milieu du troisième rang en partant du bas, ces treize képis avec, au milieu, ce savant dégradé - oh ! le joli mot - de "CHEFS".
Mais quand les victimes sont nombreuses dans tous ces pioupious, rares sont les élus. Comme le confirment les Évangiles => Il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus. (Matthieu 22:14)

Photo prise devant le bâtiment conventuel des Augustins, que les Montreuillais appelaient "Immeuble Muzet" (indication manuscrite au crayon à papier au dos du cliché), ou "Immeuble Mirguet", dans mes souvenirs.

   Couvent des Grands Augustins. (Eau-forte d'Albert Flamen, 1659).
Musée d'Angers.
In Canton de Montreuil-Bellay, Maine-et-Loire, Images du patrimoine,
qui me remercie pour mon aide.

     La  flèche blanche, au bas et à droite, indique le couvent dans les années 1970, avant sa récente restauration. Photo J. S.

 Le même immeuble aujourd'hui, après des travaux de restauration
pour la  création de logements locatifs. Photo  J. S.

vendredi 9 septembre 2016

La Première Dame montreuillaise

Les  parents angevins  de Valérie Trierweiler  possédaient une petite maison  à Montreuil-Bellay, à  l'est du département du Maine-et-Loire, que l'on identifie souvent à l'ancienne province de l'Anjou.
La petite  demeure familiale se  trouve dans le  quartier d'Outre-les-Ponts,  sise  entre  la  rivière  du Thouet, le jardin descendant jusqu'à un ancien lavoir sur la dite rivière, et  la  petite  rue du Port-Sainte-Catherine. 
Ci-dessous, un article du journal  Le  Meilleur, daté du 12 mai 2012, page 19.